La rue ne peut être toujours le nouveau parlement !

Quand on est dans la merde jusqu’au coup. Il serait imprudent de baisser la tête.(Proverbe scandinave)

Ont – ils perdu la raison ?L’ émotion dicte un agenda  politique balloté par les fakes, les sondages et les ambitions « cachées ». Les maîtres à penser et les populistes  de l’inique pensée  règnent. Ils cherchent à convaincre  et font peu de cas du vrai . Jusqu’à quand ?

Est – ce toujours possible ?

Pour l’instant, le monde appartient à ceux qui se demandent « pourquoi » ! Mais l’avenir appartient forcément à ceux dans la rationalité et l’amour qui se demandent « comment » ! C’est dire qu’il faut toujours mieux prévenir que guérir. De maudire, de  s’agiter et de dénoncer, sans énoncer. L’adversaire n’est pas l’ennemi. le consensus n’est pas la compromission.

L’intelligence, n’est-ce pas la force, solitaire, d’extraire du chaos de sa propre vie la poignée de lumière suffisante pour éclairer un peu plus loin que soi – vers l’autre là-bas, comme nous, égaré dans le noir.

Comment amener le plus de clarté dans l’esprit de nos compatriotes en chiraj et doute permanents,  pour consolider un projet collectif. Dans lequel la plupart ne se sentirait pas exclu !

 Mais en matière de bonnes décisions et surtout partagées , que voulons – nous  vraiment, pour nous, notre jeunesse,  les plus défavorisés et les forces vives qui construisent par leur labeur le pays. Et avec quelle détermination.  Pour la Guadeloupe d’abord?

 Mais est – ce toujours possible quand la question posée, est généralement partielle, partiale, polluée ou  imposée.  

Il y a-t-il toujours surtout en politique,  une  intention cachée qui nous échappe  . Et  ce d‘autant que beaucoup de facteurs  qui nourrissent le cheminement de la décision,  parce que complexes ou occultées, nous échappent ? Et quand est – il et le prix à payer pour oser exprimer une conviction.

 Car quid ici des manipulations »savantes » et de ces discours de professionnels complotistes et des fakes  amplifiés par des médias même publics? Si savamment orchestrés. D’où ces otage inconscients d’un groupe, d’une foule, d’un leader ambitieux et souvent hors sol, car exalté dans la démesure.

Se creuser en profondeur pour aller plus loin, car,  a – priori

toutes les intentions  peuvent être entendables ?

 Et ce d’autant qu’il y a toujours une  belle et noble intention dans nos agirs. Et  bien entendu, qui n’est pas celle d’un grand salop, d’un escroc,  de journaleux, d’un populiste, d’un manipulateur de tendre conscience( bien entendu tout cela aussi au féminin et même dans le « iel » ).

Si les intentions exprimées ou cachées sont( toujours)  de faire du bien ou mieux. Quant aux  moyens utilisés,   joker !  Tant qu’il est vrai « ke tout jé sé jè. Mè fouré bwa an kyou a makak pa jé. Po zot , joker !  Et que dire de ceux qui  pour justifier une violence, pensent  mordicus qu’on ne peut faire des omelettes sans casser des œufs.  Sans se demander si leur compatriote ne  sont allergiques aux omelettes. Uniquement parce qu’elles ne sont pas mangeables et encore moins  être digérées.

Soyons clairs !Aucun peuple, aucun individu,  ne peut être sauvé , s’il ne veut pas l’être. La représentation politique , n’est pas un coup de sang, mais une responsabilité assumée.  Le challenge est de débusquer et d’interroger l’intention cachée de nos maîtres à penser , sans en exiger la confession.!

 

A l’ère du soupçon ?

C’est un fait. La responsabilité citoyenne s’efface trop souvent devant les réflexes de consommateurs, des arrangements clientélistes,  et des replis démissionnaires.

Qu’engendre la société actuelle ? Des calculateurs, des révoltés, des aigris , des abstentionnistes , des résignés ou des fatalistes ?

 Que faire quand dans nos sociétés modernes aux fonctionnements si complexes, tant de citoyens largués ont du mal à comprendre le fonctionnement de leurs institutions. Et se réfugient dans les croyances.

 Et que faire, quand  les représentants et leur opposition, ne sont pas forcément , malgré leur intention affichée, ni les plus compétents encore moins les plus vertueux !

Et quid ici  de cet intérêt général( qu’il faudrait avec les libertés individuelles dites fondamentales  absolument redéfinir).

Donnons ici raison  à  Friedrich Wilhelm Nietzsche .L’homme supérieur, n’échappe pas au ressentiment. Et comme vous, chers lecteurs, il le surmonte.

Dans un pays comme le nôtre, encore en construction, car si jeune, il faut( ré)interroger le ressentiment et ces blessures du passé. D’autant que beaucoup encore chez nous,  sont prêts à se battre bec et ongles, tout en s’accrochant aux avantages du système,  pour qu’on ne leur ôte pas leur chaîne.

La vraie ignorance est une ignorance qui se sait (Montaigne. La rue ne peut être  le nouveau parlement ! Mais  à qui donc confier le pouvoir ?

Le secret de la liberté c’est le savoir, c’est la connexion  au réel dans une poétique du vivre ensemble!

Que vos choix reflètent  donc vos espoirs et non vos peurs.

 

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